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"Le Récif"

2020

Le Récif est le quatrième volet d’une thématique liée à la disparition des massifs coralliens, un travail plastique débuté en 2008 par l’installation Coralliformes, prolongé en 2013 avec les sculptures Gondwana et en 2018 avec Microcosme.

"Microcosme"

2018

microcosme

Microcosme est le troisième volet d'une thématique liée à la disparition des massifs coralliens, un travail plastique débuté en 2008 par l'installation Coralliformes et prolongé en 2013 avec les sculptures de Gondwana.

Un travail de sculpture délicat, minutieux, rigoureux, en mimétisme avec le vivant. Un organisme vivant dont l'aspect minéral est le résultat tangible des agressions qu’il subit : destruction, pollution, réchauffement climatique…

Les pièces sculptées, blanches simplement biscuitées, sont regroupées et présentées sous forme d'échantillon d'observation : tubes, galets, échantillons tabulaires.

Ce nouveau volet dessine l'avenir du corail sous deux perspectives : celle muséale du cabinet de curiosités qui le désigne définitivement comme nature morte, et celle scientifique, de l’échantillonnage scientifique qui lui conserve sa vie.

Photo ​© Pascale Marchesan

"Les Ephémères"

2016

Attire l'attention sur le sort des migrants.

"Hana"

(fleur en japonais) 2015

​Evocation de la grappe.

Installation réalisée dans l'ancienne cuve à vin de la galerie.

"Nendo Dango" 

ou l'espoir des "Boules d'argile"  2010

Ce volet s'inscrit comme le prolongement de la pensée de Masanobu Fukuoka (1913-2008).

A l'heure de l'agriculture intensive et de la déforestation non réfrénée, ce microbiologiste japonais a trouvé des solutions locales en accord avec les lois naturelles : en jetant des boules d'argile dans lesquelles ont été mis des semis, des surfaces agricoles appauvries ou des plantations d'arbres calcinées renaissent.

"Coralliformes"

2008

Les coraux portent la mémoire du monde. Blanchis, ces polypes ont perdu leur couleur rouge orangé originelle.

" Coralliformes ", nouvelle exposition du sculpteur Fanta Diallo, se concentre méticuleusement  sur la représentation de cet univers marin fossilisé. L'univers de chaque pièce saisit ce temps où la matière oscille entre l'organique et le minéral.

La terre blanche, travaillée au colombin, paraît avoir arraché ces formes, à ces massifs coralliens. Sensuelles, ces délicates empreintes sont, chacune, des manifestes prônant une attention accrue à notre planète en péril. Le spectateur assiste à la vie autonome de la matière. Ses aspérités, révélées par une pointe fine, sont les instants figés des respirations de la terre. Lise Guiot

"Tours de Babel"

2007

Est un questionnement sur l'avenir planétaire, face au réchauffement climatique.

"Etre de terre"

2005

Représente les couches sédimentaires d'une humanité millénaire, couches successives du temps éternel apparenté au cycle de la vie.

"Le temps" 

2003

Perdre la parole. Plonger au plus profond de soi.

Se retrouver dans les méandres de la pensée, de son être le plus intime.

C'est vivre l'enfermement: le puits inéluctable du temps.

Son souffle vous traverse. Heures, saisons vous aspirent dans leur cercle.

Et l'intime vagit.

Etat de silence, d'introspection de l'être, du temps s'écoulant.

 

© Fanta Diallo

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